Voilà maintenant plus de 15 ans que la Loi sur les compétences municipales est entrée en vigueur et a abrogé du même coup plus de 400 articles du Code municipal du Québec et 200 articles de la Loi sur les cités et villes. Elle a grandement rajeuni le paysage législatif touchant tant les petites municipalités que les grandes villes.
Puisque cette loi est rédigée en termes généraux et doit s’interpréter de façon large et libérale de façon à répondre aux besoins municipaux, divers et évolutifs, dans l’intérêt de leur population, il apparaît utile de rappeler certains pouvoirs de cette loi qui sont susceptibles d’être moins connus, même pour un directeur ou une directrice générale d’expérience.